Les questions qui sont fréquemment posées à la direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE) l’incitent à rappeler au public les conditions dans lesquelles il est possible d’utiliser en toute sécurité un véhicule alimenté en biocarburant.

Sur le plan technique, le recours au carburant E85, qui contient de l’alcool (éthanol), impose la mise en place, sur le véhicule, d’équipements spécifiques d’alimentation en carburant, compte tenu du caractère corrosif de l’éthanol. Le montage d’origine en usine permet de garantir la tenue mécanique et le fonctionnement normal des moteurs.

Au titre du code de la route, la transformation d’un véhicule neuf ou usagé, alimenté en essence pour une utilisation en bio éthanol, doit faire l’objet d’une modification de la carte grise par la préfecture, après réception par la DRIRE (examen technique et administratif du véhicule).

Cette réception ne peut être prononcée que si les garanties sont apportées, par le propriétaire du véhicule, sur la fiabilité de la transformation réalisée.

Une de ces garanties est l’autorisation du constructeur ou de son représentant en France (pour les constructeurs étrangers). A ce jour, sans l’accord explicite du constructeur pour des transformations locales de véhicules, notamment le montage de kit de transformation ou d’accessoires distribués la réception ne peut être accordée par la DRIRE et la carte grise ne peut être modifiée.

Seuls, les véhicules équipés d’origine par le constructeur et homologués CE pour fonctionner au "flex fuel" (FE) peuvent utiliser cette source d’énergie. En présentant le certificat de conformité du véhicule délivré par le constructeur à la préfecture, l’acquéreur obtiendra directement la carte grise en énergie "FE".

Attention les kit bioéthanol, c'est comme le tuning moteur, c'est pas homologué donc ça peut pas rouler sur la route à moins que VW te donne l'autorisation écrite, ce qui m'étonnerait beaucoup.

Les questions qui sont fréquemment posées à la direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE) l’incitent à rappeler au public les conditions dans lesquelles il est possible d’utiliser en toute sécurité un véhicule alimenté en biocarburant.

Sur le plan technique, le recours au carburant E85, qui contient de l’alcool (éthanol), impose la mise en place, sur le véhicule, d’équipements spécifiques d’alimentation en carburant, compte tenu du caractère corrosif de l’éthanol. Le montage d’origine en usine permet de garantir la tenue mécanique et le fonctionnement normal des moteurs.

Au titre du code de la route, la transformation d’un véhicule neuf ou usagé, alimenté en essence pour une utilisation en bio éthanol, doit faire l’objet d’une modification de la carte grise par la préfecture, après réception par la DRIRE (examen technique et administratif du véhicule).

Cette réception ne peut être prononcée que si les garanties sont apportées, par le propriétaire du véhicule, sur la fiabilité de la transformation réalisée.

Une de ces garanties est l’autorisation du constructeur ou de son représentant en France (pour les constructeurs étrangers). A ce jour, sans l’accord explicite du constructeur pour des transformations locales de véhicules, notamment le montage de kit de transformation ou d’accessoires distribués la réception ne peut être accordée par la DRIRE et la carte grise ne peut être modifiée.

Seuls, les véhicules équipés d’origine par le constructeur et homologués CE pour fonctionner au "flex fuel" (FE) peuvent utiliser cette source d’énergie. En présentant le certificat de conformité du véhicule délivré par le constructeur à la préfecture, l’acquéreur obtiendra directement la carte grise en énergie "FE".