Modèle du véhicule : c'est une 3B (année 1998), c'est l'appelation officielle administrative du modèle homologué par le constructeur.
Pourquoi dit-on que c'est une Passat B5, c'est juste que c'est la 5ème génération de Passat comme une B6 aura une appelation officielle administrative 3C.
Une fois les disques en place, je ne vois pas où est le problème à ce niveau.
Vice caché : il ne peut y avoir recours à la garnatie des vices cachés à partir du moment où l'acheteur à pris connaissance du défaut. Un vendeur ne peut non plus être tenu responsable d'une réparation effectuée après la vente par l'acheteur.
Expertise : un expert mandaté par l'acheteur ne s'impose pas au vendeur, une expertise doit être contradictoire, donc acceptée par les 2 parties, à défaut d'accord des parties sur l'expert, un juge désignera un expert qu'il imposera aux parties. Tant que ce n'est pas le cas vous n'êtes même pas obligé de répondre à l'expert et de vous prêter à cette expertise. Il suffit de signifier à l'acheteur que vous n'êtes pas d'accord.
Vendeur : une personne qui fait profession de vendre des véhicules est censé être un professionnel du métier, le patron de la concession ne connaît pas non plus forcément la mécanique, à lui de s'entourer des personnes adéquates, il serait trop simple dans ce cas de dire, je vends des voitures mais je n'y connais rien c'est juste commercial.
Pour la fuite sur la crémaillère il reste possible qu'en démontant le soufflet pour changer la biellette il se soit aperçu qu'il y avait une fuite, à part si elle est très minime ça finit toujours par couler, comme un défaut était signalé à ce niveau par le CT, il appartenait à l'acheteur normalement prudent de s'en assurer avant l'achat de la voiture.